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Cirque

Bakéké

Compagnie Fabrizio Rosselli
08.10.2023 > 10.10.2023

Vous êtes désespérément perfectionniste ? Lui aussi ! Muet comme une carpe et malin comme un singe, notre ami semble n’avoir qu’une idée en tête sous son chapeau de paille : construire des pyramides… de seaux. Non pas 3 ou 6, mais bien 60 seaux vert citron. Par tous les moyens, surtout les plus fous, il entend leur donner de somptueuses formes géométriques. Ce doux rêveur aligne et empile donc jusqu’à la démesure… Comme pour l’architecte de Cléopâtre, c’est pourtant dans l’imperfection et les erreurs que surgira la poésie. Bakéké (« seau » en hawaïen) est une histoire qui raconte nos propres obstinations, délicieusement absurde et libératrice.

Dans le cadre du Festival Clowns in Progress de la Kulturfabrik

Prochaines séances ouvertes au public

Prochaines séances scolaires

Informations

  • Durée 50 min.
  • Public Tout public à partir de 6 ans
  • Langue Sans paroles
  • Lieu Ariston
  • Plein tarif 12 €
  • Jeunes 6 €
  • Enfants 3 €

Distribution

De et par Fabrizio Rosselli Regard extérieur et aide à la mise en scène Étienne Manceau Crédit image Gaby Merz

Production

Production Compagnie Fabrizio Rosselli Coproduction Groupe Geste(s), Bagnolet ; Théâtre des Franciscains, Béziers ; Archaos – Pôle National Cirque, Marseille, Ville de Billom Accueil en résidence La Grainerie – Fabrique des arts du cirque et de l’itinérance, Balma ; Le Lido – Centre des arts du cirque, Toulouse ; Le Grain à moudre, Samatan ; Bouillon Cube – La Grange, Causse-de-la-Selle ; La Cascade – Pôle National Cirque, Ardèche-Auvergne-Rhône-Alpes ; Art Ensemble ; Cherche-Trouve, Cergy-Pontoise ; Ax Animation, Ax-les-Thermes ; Centre culturel Bonnefoy, Toulouse ; Espace Marcel Pagnol, Villeneuve-Tolosane ; Moulin de l’étang, Billom ; Théâtre des Franciscains – Béziers Aide Ville de Billom Soutien Comité Départemental de la Haute-Garonne.

Dans la presse

La Dépêche

« Clown espiègle, très drôle, moqueur (de lui-même), poète et rêveur. »

Dordogne Libre

« Il montre bien à quel point larecherche de perfection de l'êtrehumain peut conduire au ridicule. »

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